Le SERAC (Le Service d’Assistance Chrétienne), est une association apolitique, interdénominationelle, à but non lucratif, d’intérêt communautaire, basée à Bobo-Dioulasso, au Burkina Faso. Le SERAC mène ses activités au profit des populations les plus défavorisées sans distinction de race ni de religion. Le SERAC est reconnu officiellement par les autorités du Burkina Faso par Récépissé de déclaration d’existence N° 94-280/MAT/SG/DGAT/DLPAJ du 08/11/1994.
En 1997, suite au séjour du Pasteur Samuel SANOU en France où il a rencontré le couple Jean-Paul et Liliane GUILLET à qui il a présenté un projet du SERAC, ce couple fut interpellé par les volets santé et micro-crédit pour lesquels ils ont décidé d’apporter leur soutien sur cinq années au départ. Au regard des résultats obtenus grâce à l’appui d’ils apportaient au SERAC, ce couple a décidé après les cinq années de leur engagement, de poursuivre avec leur soutien à ces deux activités du SERAC tant que le Seigneur leur en donne les moyens de le faire. En plus du soutien financier trimestriel qu’ils apportent au SERAC, le couple GUILLET a envoyé pendant plusieurs années des colis de médicaments pour soutenir l’initiative santé du SERAC. Lorsque que nous avons commencé à recevoir en 1997 les premiers colis de médicaments, l’idée est née d’organiser des séances de consultations gratuites pour les malades défavorisés en mettant gratuitement à leur disposition les médicaments que nous recevions pour les aider à se soigner à moindre coût. L’infirmier BADO Bazoumbié, qui est un frère en Christ, a apporté au SERAC son appui dans l’organisation de ces séances de consultations gratuites qui avaient lieu dans la salle d’alphabétisation de l’Eglise Evangélique de Colsama. Cette salle servait aussi à cette église de lieu de culte provisoire en attendant qu’elle puisse construire son temple qui fut appelé « Temple Béthel ». Les séances de consultations gratuites, pour les soins de santé pour les malades défavorisés, organisées par le SERAC en 1997 et 1998 n’ont pas pu se poursuivre malgré le succès qu’elles ont eu. Le SERAC ne disposant pas de ses propres locaux il était pratiquement difficile de transformer le lieu de culte de l’Eglise de Colsama en un dispensaire même si cette église n’avait fait aucune objection pour la tenue des activités de santé du SERAC dans son local. Le SERAC a décidé de poursuivre autrement son initiative santé à travers l’ouverture d’un dépôt pharmaceutique.
En 1997, suite au séjour du Pasteur Samuel SANOU en France où il a rencontré le couple Jean-Paul et Liliane GUILLET à qui il a présenté un projet du SERAC, ce couple fut interpellé par les volets santé et micro-crédit pour lesquels ils ont décidé d’apporter leur soutien sur cinq années au départ. Au regard des résultats obtenus grâce à l’appui d’ils apportaient au SERAC, ce couple a décidé après les cinq années de leur engagement, de poursuivre avec leur soutien à ces deux activités du SERAC tant que le Seigneur leur en donne les moyens de le faire. En plus du soutien financier trimestriel qu’ils apportent au SERAC, le couple GUILLET a envoyé pendant plusieurs années des colis de médicaments pour soutenir l’initiative santé du SERAC. Lorsque que nous avons commencé à recevoir en 1997 les premiers colis de médicaments, l’idée est née d’organiser des séances de consultations gratuites pour les malades défavorisés en mettant gratuitement à leur disposition les médicaments que nous recevions pour les aider à se soigner à moindre coût. L’infirmier BADO Bazoumbié, qui est un frère en Christ, a apporté au SERAC son appui dans l’organisation de ces séances de consultations gratuites qui avaient lieu dans la salle d’alphabétisation de l’Eglise Evangélique de Colsama. Cette salle servait aussi à cette église de lieu de culte provisoire en attendant qu’elle puisse construire son temple qui fut appelé « Temple Béthel ». Les séances de consultations gratuites, pour les soins de santé pour les malades défavorisés, organisées par le SERAC en 1997 et 1998 n’ont pas pu se poursuivre malgré le succès qu’elles ont eu. Le SERAC ne disposant pas de ses propres locaux il était pratiquement difficile de transformer le lieu de culte de l’Eglise de Colsama en un dispensaire même si cette église n’avait fait aucune objection pour la tenue des activités de santé du SERAC dans son local. Le SERAC a décidé de poursuivre autrement son initiative santé à travers l’ouverture d’un dépôt pharmaceutique.
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